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Pourquoi le Safeword est t'il important


 Pourquoi le Safeword est t'il important


Quand un "safeword" est prononcé, il doit toujours être pris au sérieux et le jeu doit être immédiatement arrêté. Si le (la) Dominant(e) ne respecte pas ce "safeword», il y a fort à parier qu’Il ou Elle ne respectera pas non plus d’autres limites  
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Voici un exemple (réel) de « contrat » de sécurité à présenter au dominant,
à modifier selon vos souhaits… cet exemple pourra sembler excessif ou
effrayant à des partenaires inexpérimentés, mais la vérité est tout autre :
tout comme la confiance est la clé du BDSM, prévenir un maximum de risques
permet de s’abandonner beaucoup plus durant une scène. Et lorsque vous vous
retrouverez attachée en croix sur un lit, bâillonnée et avec vos seuls yeux
pour communiquer votre détresse à celui qui vous domine, alors vous
réaliserez l’importance d’avoir lu et fait lire cette liste à votre
partenaire.

Voici un exemple (réel) de « contrat » de sécurité à présenter au dominant,
à modifier selon vos souhaits… cet exemple pourra sembler excessif ou
effrayant à des partenaires inexpérimentés, mais la vérité est tout autre :
tout comme la confiance est la clé du BDSM, prévenir un maximum de risques
permet de s’abandonner beaucoup plus durant une scène. Et lorsque vous vous
retrouverez attachée en croix sur un lit, bâillonnée et avec vos seuls yeux
pour communiquer votre détresse à celui qui vous domine, alors vous
réaliserez l’importance d’avoir lu et fait lire cette liste à votre partenaire. Le safeword,  c’est son rôle, tue immédiatement l’action. Une soumise ne le
prononcera jamais sans une très sérieuse raison. Un dominant qui ignorerait
le safeword signerait donc, c’est sûr, la fin d’une relation – tout comme un
dominant qui tenterait de corriger l’action plutôt que de l’interrompre
comme prévu : beaucoup se sont tentés à ce jeu-là, tous ont fini âprement
insultés, sinon abandonnés.

Le safeword n’est pas un constat d’échec pour le dominant. D’abord, c’est
une occasion de montrer son sérieux à la soumise, qui sera alors infiniment
plus en confiance pour les séances à venir – plus respectueuse et dévouée
que jamais. Ensuite, le BDSM étant avant tout une affaire de rapports
humains, qui peut prétendre connaître son partenaire au point de juger de
ses limites, physiques ou cérébrales ?


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Codes de sécurité
1). Safeword
Le safeword, utilisé par la soumise, indique au partenaire qu’il doit,
immédiatement et sans discussions interrompre l’action en cours et, si
applicable, la délivrer de ses liens le plus vite possible. Le safeword est
toujours à considérer comme appelant une action de la plus haute urgence,
quelle que soit la situation et aussi anodine qu’elle puisse paraître aux
yeux du partenaire.

Si la soumise est bâillonnée et incapable de se libérer, le dominant doit
immédiatement la libérer de son bâillon avant de libérer ses membres si
besoin est. Le collier fait également partie des accessoires à ôter en
priorité, lorsque le safeword est prononcé.

Si le safeword permet de rassurer la soumise, de l’aider à s’abandonner
davantage, il est bien là également pour pallier à des dangers réels. Les
risques physiques sont possibles, mais aussi des dangers d’ordre émotionnel
parfois incompréhensibles pour les partenaires, aussi est-il d’une
importance cruciale que ceux-ci ne prennent jamais, jamais, le safeword à la
légère.

La présence d’un safeword est également à considérer comme une aide pour le
dominant, dans la mesure où tant qu’il n’est pas prononcé, la soumise lui
donne ainsi un accord tacite pour continuer l’action en cours : si la
soumise supplie, implore, cela signifie assurément qu’elle se sent dans une
situation très forte – en bien ou en mal – sur le plan émotionnel. Mais tant
qu’elle ne prononce pas le mot magique, le partenaire sait qu’il peut sans
crainte, et malgré les suppliques, continuer l’action s’il la juge
appropriée.

1.1). Safeword verbal
Le safeword verbal sera tout simplement, et comme le veut l’usage courant,
le mot safeword lui-même, ce mot rare ne risquant pas d’être prononcé par
inadvertance.

1.2). Safeword lors du port d'un bâillon
Si la soumise est, pour une raison ou une autre, dans l’impossibilité
d’articuler un mot, son moyen d’invoquer le safeword sera un clignement
alternatif de ses yeux, éventuellement ponctué de cris ou de sons
quelconques pour attirer immédiatement l’attention du partenaire. Pour plus
de sûreté lors de positions délicates, le dominant pourra parfois décider de
placer un objet dans la main de la soumise (clochette, trousseau de clés ou
tout objet susceptible de faire du bruit en heurtant le sol) : lâcher
l’objet sera alors un safeword pour la soumise.

Il est à noter que l’usage et la prudence veulent que l’on ne laisse jamais
sans surveillance une soumise qui porte un bâillon en bouche. En cas
d’invocation du safeword par une soumise bâillonnée et attachée, il est
prudent de contrôler immédiatement après avoir ôté le bâillon que celle-ci
n’est pas en train de s’étouffer, en lui demandant par exemple de prononcer
quelques mots, ou de tirer la langue pour s’assurer qu’elle ne l’a pas
avalé.


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2). Codes de couleur
A tout moment, le partenaire pourra poser la question « Couleur ? » à la
soumise, qui aura alors l’obligation de répondre par la couleur qui indique
son état d’esprit du moment, en accord avec les codes décrits ci-après, et
sans jamais mentir.

La soumise pourra également, si elle le juge approprié, donner spontanément
à son partenaire des indications sur son état émotionnel à travers un de ces
codes de couleurs.

Dans l’idéal, les codes de couleur devraient être considérés comme des
indications données en dehors de toute conversation, immédiatement oubliés,
comme une lecture instantanée qui n’appelle aucune discussion, aucun
commentaire, mais simplement une orientation pour la suite des évènements.

2.1). Vert
L’action peut continuer sans aucun problème, la soumise se sent très à
l’aise.

2.2). Orange
L’action s’intensifie, en bien ou en mal, mais peut se poursuivre sans aucun
problème. L’orange n’indique pas ici qu’il faut ralentir ou s’arrêter, mais
plutôt poursuivre… en veillant toutefois peut-être à ne pas augmenter trop
rapidement l’intensité de l’action.

De par le paradoxe du bdsm, l’orange représente une sorte d’idéal… le vert
pourrait signifier accélérer, quand l’orange marquerait l’équilibre dans
lequel la soumise se sent basculer dans la soumission, le fameux passage de
pouvoir…

2.3). Rouge
L’action devient trop intense, et la soumise préfèrerait la voir se
ralentir.

Le rouge n’a pas valeur de safeword : si le plaisir du partenaire est de
continuer l’action, voire même de l’intensifier, il en a le plein pouvoir,
tout en sachant que son plaisir commence peut-être à se faire au détriment
de sa partenaire. Toutefois, tant que le safeword n’est pas prononcé,
l’accord est implicitement donné par la soumise pour que l’action se
poursuive.

Il est à noter que le code « rouge » peut être utilisé par la soumise pour
signifier à son partenaire qu’elle va peut-être prononcer son safeword :
bien souvent en BDSM, une situation difficile à supporter est aussi une
situation que l’on a des réticences à quitter, et le jeu peut devenir
dangereux… la soumise hésitera moins à dire spontanément « rouge » – qui
n’arrête pas le jeu – qu’à prononcer son safeword. Charge alors au dominant,
selon l’action, de juger de la suite à adopter : continuer, ralentir,
avancer progressivement, parler…

c’est son rôle, tue immédiatement l’action. Une soumise ne le prononcera
jamais sans une très sérieuse raison. Un dominant qui ignorerait le safeword
signerait donc, c’est sûr, la fin d’une relation – tout comme un dominant
qui tenterait de corriger l’action plutôt que de l’interrompre comme prévu :
beaucoup se sont tentés à ce jeu-là, tous ont fini âprement insultés, sinon
abandonnés.

Le safeword n’est pas un constat d’échec pour le dominant. D’abord, c’est
une occasion de montrer son sérieux à la soumise, qui sera alors infiniment
plus en confiance pour les séances à venir – plus respectueuse et dévouée
que jamais. Ensuite, le BDSM étant avant tout une affaire de rapports
humains, qui peut prétendre connaître son partenaire au point de juger de
ses limites, physiques ou cérébrales ?


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Codes de sécurité
1). Safeword
Le safeword, utilisé par la soumise, indique au partenaire qu’il doit,
immédiatement et sans discussions interrompre l’action en cours et, si
applicable, la délivrer de ses liens le plus vite possible. Le safeword est
toujours à considérer comme appelant une action de la plus haute urgence,
quelle que soit la situation et aussi anodine qu’elle puisse paraître aux
yeux du partenaire.

Si la soumise est bâillonnée et incapable de se libérer, le dominant doit
immédiatement la libérer de son bâillon avant de libérer ses membres si
besoin est. Le collier fait également partie des accessoires à ôter en
priorité, lorsque le safeword est prononcé.

Si le safeword permet de rassurer la soumise, de l’aider à s’abandonner
davantage, il est bien là également pour pallier à des dangers réels. Les
risques physiques sont possibles, mais aussi des dangers d’ordre émotionnel
parfois incompréhensibles pour les partenaires, aussi est-il d’une
importance cruciale que ceux-ci ne prennent jamais, jamais, le safeword à la
légère.

La présence d’un safeword est également à considérer comme une aide pour le
dominant, dans la mesure où tant qu’il n’est pas prononcé, la soumise lui
donne ainsi un accord tacite pour continuer l’action en cours : si la
soumise supplie, implore, cela signifie assurément qu’elle se sent dans une
situation très forte – en bien ou en mal – sur le plan émotionnel. Mais tant
qu’elle ne prononce pas le mot magique, le partenaire sait qu’il peut sans
crainte, et malgré les suppliques, continuer l’action s’il la juge
appropriée.

1.1). Safeword verbal
Le safeword verbal sera tout simplement, et comme le veut l’usage courant,
le mot safeword lui-même, ce mot rare ne risquant pas d’être prononcé par
inadvertance.

1.2). Safeword lors du port d'un bâillon
Si la soumise est, pour une raison ou une autre, dans l’impossibilité
d’articuler un mot, son moyen d’invoquer le safeword sera un clignement
alternatif de ses yeux, éventuellement ponctué de cris ou de sons
quelconques pour attirer immédiatement l’attention du partenaire. Pour plus
de sûreté lors de positions délicates, le dominant pourra parfois décider de
placer un objet dans la main de la soumise (clochette, trousseau de clés ou
tout objet susceptible de faire du bruit en heurtant le sol) : lâcher
l’objet sera alors un safeword pour la soumise.

Il est à noter que l’usage et la prudence veulent que l’on ne laisse jamais
sans surveillance une soumise qui porte un bâillon en bouche. En cas
d’invocation du safeword par une soumise bâillonnée et attachée, il est
prudent de contrôler immédiatement après avoir ôté le bâillon que celle-ci
n’est pas en train de s’étouffer, en lui demandant par exemple de prononcer
quelques mots, ou de tirer la langue pour s’assurer qu’elle ne l’a pas
avalé
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2). Codes de couleur
A tout moment, le partenaire pourra poser la question « Couleur ? » à la
soumise, qui aura alors l’obligation de répondre par la couleur qui indique
son état d’esprit du moment, en accord avec les codes décrits ci-après, et
sans jamais mentir.

La soumise pourra également, si elle le juge approprié, donner spontanément
à son partenaire des indications sur son état émotionnel à travers un de ces
codes de couleurs.

Dans l’idéal, les codes de couleur devraient être considérés comme des
indications données en dehors de toute conversation, immédiatement oubliés,
comme une lecture instantanée qui n’appelle aucune discussion, aucun
commentaire, mais simplement une orientation pour la suite des évènements.

2.1). Vert
L’action peut continuer sans aucun problème, la soumise se sent très à
l’aise.

2.2). Orange
L’action s’intensifie, en bien ou en mal, mais peut se poursuivre sans aucun
problème. L’orange n’indique pas ici qu’il faut ralentir ou s’arrêter, mais
plutôt poursuivre… en veillant toutefois peut-être à ne pas augmenter trop
rapidement l’intensité de l’action.

De par le paradoxe du bdsm, l’orange représente une sorte d’idéal… le vert
pourrait signifier accélérer, quand l’orange marquerait l’équilibre dans
lequel la soumise se sent basculer dans la soumission, le fameux passage de
pouvoir…

2.3). Rouge
L’action devient trop intense, et la soumise préfèrerait la voir se
ralentir.

Le rouge n’a pas valeur de safeword : si le plaisir du partenaire est de
continuer l’action, voire même de l’intensifier, il en a le plein pouvoir,
tout en sachant que son plaisir commence peut-être à se faire au détriment
de sa partenaire. Toutefois, tant que le safeword n’est pas prononcé,
l’accord est implicitement donné par la soumise pour que l’action se
poursuive.

Il est à noter que le code « rouge » peut être utilisé par la soumise pour
signifier à son partenaire qu’elle va peut-être prononcer son safeword :
bien souvent en BDSM, une situation difficile à supporter est aussi une
situation que l’on a des réticences à quitter, et le jeu peut devenir
dangereux… la soumise hésitera moins à dire spontanément « rouge » – qui
n’arrête pas le jeu – qu’à prononcer son safeword. Charge alors au dominant,
selon l’action, de juger de la suite à adopter : continuer, ralentir,
avancer progressivement, parler…
MAÏTRE CHARLY ET SA SOUMISE DANCE


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